La série « orées immatérielles » exploite une double appropriation symbolique de la notion de paysage, selon un double mouvement : celui de la nature paysage propre à faire remonter l’imaginaire du monde de l’enfance, des contes fantastiques ; celui du paysage intérieur et de ses entrelacs cognitifs.
La captation de la forêt dans son état organique, in vivo, et dans ses tréfonds répond à l’imagerie mentale et à ces processus de représentation.
L’oeil suit une dynamique poétique et méditative, des racines des arbres vers leur cime.