À Berlin, les « Schrebergarten », les jardins ouvriers, sont considérés comme « des îlots de paradis », ils résistent tant bien que mal aux promoteurs depuis plus d’un siècle. 125 hectares ont déjà été abandonnés au profit d’une autoroute.
Anachronismes joyeux au cœur de la cité, ils offrent des mises en scène où nains de jardin, moulins miniatures, buissons et haies taillés au cordeau semblent protéger les maisonnettes des montagnes de béton qui les encerclent.